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الجمعة 29 يناير 2016, 11:25 pm من طرف MOHAMMED A
السلام عليكم الاخوة بالمنتدى مع كل احترامي لكل أعضاءه ما لمسته من خلال تصفحي للمنتدى هناك عزوف عن المشاركة وكذا عدم تواصل جدي بين أعضاءه أقصد لا يوجد تعاون أكثر افادة فقط معلومات أو ابداء رأي أو خبر فلذا أقترح أن نغير …
تعاليق: 6
ترحيب بالاعضاء الجدد والزوار
الإثنين 24 أكتوبر 2011, 9:53 pm من طرف وعدالله الحديدي
بسم الله الرحمن الرحيم
سادتي الاعضاء الجدد والزوار الكرام المحترمين
مرحبا بكم في عالم النحل 0 هذا هو شعار منتدانا الاغر مرحبا بكم بكل ماتحمل هذه الكلمات من معاني وانه لمن دواعي سرورنا انتمائكم الى عائلتنا الطيبه عائلة …
سادتي الاعضاء الجدد والزوار الكرام المحترمين
مرحبا بكم في عالم النحل 0 هذا هو شعار منتدانا الاغر مرحبا بكم بكل ماتحمل هذه الكلمات من معاني وانه لمن دواعي سرورنا انتمائكم الى عائلتنا الطيبه عائلة …
تعاليق: 19
طلب تربص في تربية النحل بمقابل في ولاية قسنطينة
السبت 25 أكتوبر 2014, 2:07 pm من طرف kamel bounefikha
تعاليق: 1
عضــــــو جديــــد
الأربعاء 17 سبتمبر 2014, 4:46 am من طرف رحلاوي نصرالدين 07
الســـــلام عليــــكم عضـــو جديـــد ارجـــو ان نستفيــــد جميعـــا في هذـــا المجـــال الرـــائع وكمـــــا يقـــول المثـــل
( سقســـي المجـــرب ومتسقسيـــــش الطبيبــــ)
( سقســـي المجـــرب ومتسقسيـــــش الطبيبــــ)
تعاليق: 0
ألفاظ نحليه يستحسن ضبطها
الإثنين 03 مارس 2014, 4:24 pm من طرف وعدالله الحديدي
ألفاظ نحلية يُستحسن ضبطها
للباحث الكبير لقمان إبراهيم القزاز
من المفردات النحلية التي شاعت بين ألسنة النحالين وأقلامهم ألفاظ تشوبها أخطاء ، يُستحسن التدقيق فيها وتصويبها …
للباحث الكبير لقمان إبراهيم القزاز
من المفردات النحلية التي شاعت بين ألسنة النحالين وأقلامهم ألفاظ تشوبها أخطاء ، يُستحسن التدقيق فيها وتصويبها …
تعاليق: 2
تهنئة بمناسبة المولد النبوي الشريف
الأربعاء 23 يناير 2013, 6:17 pm من طرف وعدالله الحديدي
تهنئة بمناسبة مولد النبوي الشريف
كل عـــام وأنتــم بخـــير ,, اللهم صلى وسلم على سيــدنا محمد وعلى اله وصحبه
أهنئ الإدارة والمشرفين والأعضاء في منتدى عالم النحل
بمناسبة مولد النبي الشريف
" إِنَّ اللَّهَ …
تعاليق: 3
بيت لخلايا نحل العسل
الثلاثاء 21 يناير 2014, 11:59 am من طرف وعدالله الحديدي
كرسي بقشان لأبحاث النحل بجامعة الملك سعود (منقول )
"بيت لخلايا نحل العسل " يفوز بالميدالية الذهبية في إبتكار 2013
حقّق سعادة الدكتور أحمد بن عبدالله الخازم المشرف على كرسي بقشان لابحاث النحل الميدالية الذهبية ضمن …
"بيت لخلايا نحل العسل " يفوز بالميدالية الذهبية في إبتكار 2013
حقّق سعادة الدكتور أحمد بن عبدالله الخازم المشرف على كرسي بقشان لابحاث النحل الميدالية الذهبية ضمن …
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apiculture de la wilaya de Bouira
صفحة 1 من اصل 1
apiculture de la wilaya de Bouira
Cassab Aïn Laloui au service de l'apiculture
Créée en 2000 conformément au décret n°96/459 fixant les règles applicables aux coopératives agricoles, la Cassab, ou coopérative agricole de service spécialisée en apiculture de la wilaya de Bouira, dont le siège est dans la commune de AÏn Laloui, 15 km à l’ouest de Bouira, a pour objectifs l’approvisionnement en produits et en matériels apicoles, la commercialisation, la transformation et le stockage des produits apicoles, l’assistance des apiculteurs amateurs adhérents aux différentes opérations apicoles avec des visites de ruches, le nourrissage, l’essaimage artificiel, la récolte de miel et enfin la vulgarisation.
Le siège de la Cassab à Aïn Laloui dispose d’infrastructures fort variées lui permettant d’assurer la satisfaction des différentes demandes en matière de produits apicoles et autres ruchers. Un atelier de menuiserie d’une capacité de production de 10 000 ruches vides par an, un atelier de montage de ruches et ses éléments, un autre de gaufrage d’une capacité de traitement et de transformation de cire de 200 q par an, une mielerie équipée de tout le matériel d’extraction et de maturation de miel d’une capacité de 10 tonnes par an, un atelier de soudure pour la fabrication des accessoires tels que le socle, les grilles à reines, les lève-cadres, un hangar de stockage des différents produits apicoles, un bloc administratif de plusieurs bureaux mais aussi une salle de réunions qui sert également de salle de cours pour la formation des apiculteurs de la wilaya de Bouira et équipée de matériels de projection et enfin, deux terrains d’une superficie totale de 3 hectares qui servent d’emplacements pour l’élevage des abeilles. Toutes ces infrastructures, ajoutées aux potentialités naturelles que recèle la wilaya de Bouira dont la diversité de la flore avec des essences forestières s’étalant sur plus de 120 000 hectares et des espèces arboricoles sur 20 000 hectares, les cultures maraîchères et les autres espèces végétales, ainsi que la diversité climatique en allant du sud avec un climat semiaride, vers le nord et la chaîne du Djurdjura et Lakhdaria au climat plus humide, tous ces atouts font de la wilaya de Bouira un lieu idéal pour le développement de l’apiculture. Cependant, si ces atouts sont largement identifiés, la Cassab fait face à quelques problèmes dont la concurrence déloyale des autres apiculteurs privés, le manque d’un plan de charge régulier et enfin, le problème des impôts. C’est là le constat fait par le directeur de la Cassab, Boussebaïne Belaïd. Selon lui, actuellement, au niveau de la Cassab, il y a un stock mort d’une valeur de 2 milliards de centimes. La Cassab, qui a un rôle d’approvisionnement en ruches pour les particuliers mais aussi pour les autres organismes tels que les forêts et les services agricoles, prépare, dès la fin de l’hiver, des centaines de ruches vides en attendant les commandes. Or, toutes ces ruches se font à partir du bois acheté et d’une main-d’œuvre payée. C’est ce que le directeur qualifie de stock mort puisque l’argent engagé n’est pas récupéré tant que les commandes en ruches pleines ne sont pas faites, et surtout ne sont pas recouvertes. D’ailleurs, pour les recouvrements, la Cassab paye les frais de ces retards de payement. Celle-ci qui a une comptabilité transparente et mensuelle se voit souvent imposée par les impôts sur la base des facturations établies pour ces clients dont les commandes se font le plus souvent dans le cadre du FNRDA ou le PER II. Or, ces deux dispositifs tardent à verser l’argent pour les clients et la Cassab ne reçoit son dû qu’après ces versements qui durent plusieurs mois. Mais les impôts se basent dans leurs calculs sur les factures établies par la Cassab et ne prend pas en compte que ces factures soient recouvertes ou non. Cette situation fait que la Cassab soit souvent redevable auprès des impôts. M. Boussebaïne qui évoque ce dilemme nous montre un exemple concret de cette situation embarrassante. Récemment, les services des forêts, dans le cadre du plan PER II, ont lancé un avis d’appel pour l’achat de plus de 4 000 ruches pleines. La Cassab qui a cette capacité de satisfaire toute cette demande s’est retrouvée devant le problème de la Cnas et des impôts puisqu’elle leur est redevable, alors que ses autres concurrents, des particuliers qui font le plus souvent dans l’informel, sont à jour avec les impôts et se voient favorisés. Aussi, pour le cas de cet avis d’appel, M. Boussbaïne qui avait soumissionné pour près de 2 000 ruches, s’est vu attribué cette quantité mais sous condition de présenter les documents nécessaires auprès des impôts. Celui-ci a difficilement réussi à convaincre les responsables des impôts de lui établir un échéancier et de lui délivrer les documents nécessaires pour avoir le contrat de fourniture des 2 000 ruches. C’est dire combien les lois sont tordues dans notre pays. Cela étant, rappelons que la Cassab qui a une autre mission de récolte du miel auprès des particuliers effectue avant chaque achat de marchandise des tests physicochimiques sur des échantillons. Et ce n’est qu’après des résultats concluants et répondant aux normes, à savoir un miel possédant un taux d’humidité inférieur à 17�t un taux de saccharose inférieur à 1,5�qu’elle prend le produit.
Y. Y.
soir d'algerie
Relance de l’apiculture
EL MOUDJAHID
lundi 06 février 2006
La coopérative apicole de Aïn El-Aloui (Bouira) se veut, aux yeux de nombreux apiculteurs de la région, une structure d’orientation et de soutien vu son rôle important dans la relance de cette activité, pourvoyeuse d’emplois et de ressources en milieu rural.
Plus de 1.000 apiculteurs, dont 150 adhérents à la coopérative, opèrent à l’échelle de la wilaya, selon le directeur de cette coopérative qui dispose d’un atelier de menuiserie d’une capacité de production de 10.000 ruches par an, avec des prévisions atteignant 15.000 unités, et d’un atelier de transformation de la cire d’une capacité de 200 quintaux par an.
Elle œuvre, en outre, à la relance progressive de son activité originale, à savoir l’entretien de ses ruchers et la réhabilitation d’autres déjà existants, notamment à Lakhdaria, connue pour sa diversité en arbres fruitiers adaptés à ce genre d’activités, mais qui étaient à l’abandon pour des raisons de sécurité durant la dernière décennie. La coopérative apicole qui envisage, d’autre part, d’exploiter des ruchers à M’Chedallah et Bordj-Akhriss, a été, rappelle-t-on, créée en 1977 avant de faire l’objet, en 1990, d’une opération de restructuration, suite à une circulaire interministérielle, à l’issue de laquelle, elle est devenue en 2000, propriété de ses travailleurs.
Toutefois, elle est confrontée, selon son premier responsable, à un problème de commercialisation de ses produits auprès des apiculteurs, en raison "des retards de ces derniers dans le règlement de leurs dus".
L’autre contrainte citée par le gestionnaire de la coopérative réside dans la "concurrence inquiétante" de cinq opérateurs privés de la même wilaya, spécialisés dans la vente de matériels apicoles, et pour "les facilités alléchantes" qu’ils accordent aux apiculteurs dans la constitution de dossiers de demandes de soutien, contrairement à sa structure qui obéït à des "considérations strictes et rigoureuses" dans ses relations avec les apiculteurs.
Commentaires :
à part de beaux timbres pour philatelistes, je ne sais pas s'il y'a beaucoup de ruches dans les environs de Lakhdaria ! notre region est ideale pour ce genre d'activités en plein air, faut reconnaitre qu'en ce moment, ce qui grouille le plus dans nos campagnes ce ne sont surement pas les abeilles...
avant cette periode trouble, Feu Houari Boumedienne ( rahimouhou Allah ala kouli hal ) quand il avait parlé pour une fois d'Apiculture, c'etait pour insinuer sinon approuver qu'un ouvrier mette son doigt dans le pot de miel de l'usine à gaz qu'etait la revolution agraire !!!
Créée en 2000 conformément au décret n°96/459 fixant les règles applicables aux coopératives agricoles, la Cassab, ou coopérative agricole de service spécialisée en apiculture de la wilaya de Bouira, dont le siège est dans la commune de AÏn Laloui, 15 km à l’ouest de Bouira, a pour objectifs l’approvisionnement en produits et en matériels apicoles, la commercialisation, la transformation et le stockage des produits apicoles, l’assistance des apiculteurs amateurs adhérents aux différentes opérations apicoles avec des visites de ruches, le nourrissage, l’essaimage artificiel, la récolte de miel et enfin la vulgarisation.
Le siège de la Cassab à Aïn Laloui dispose d’infrastructures fort variées lui permettant d’assurer la satisfaction des différentes demandes en matière de produits apicoles et autres ruchers. Un atelier de menuiserie d’une capacité de production de 10 000 ruches vides par an, un atelier de montage de ruches et ses éléments, un autre de gaufrage d’une capacité de traitement et de transformation de cire de 200 q par an, une mielerie équipée de tout le matériel d’extraction et de maturation de miel d’une capacité de 10 tonnes par an, un atelier de soudure pour la fabrication des accessoires tels que le socle, les grilles à reines, les lève-cadres, un hangar de stockage des différents produits apicoles, un bloc administratif de plusieurs bureaux mais aussi une salle de réunions qui sert également de salle de cours pour la formation des apiculteurs de la wilaya de Bouira et équipée de matériels de projection et enfin, deux terrains d’une superficie totale de 3 hectares qui servent d’emplacements pour l’élevage des abeilles. Toutes ces infrastructures, ajoutées aux potentialités naturelles que recèle la wilaya de Bouira dont la diversité de la flore avec des essences forestières s’étalant sur plus de 120 000 hectares et des espèces arboricoles sur 20 000 hectares, les cultures maraîchères et les autres espèces végétales, ainsi que la diversité climatique en allant du sud avec un climat semiaride, vers le nord et la chaîne du Djurdjura et Lakhdaria au climat plus humide, tous ces atouts font de la wilaya de Bouira un lieu idéal pour le développement de l’apiculture. Cependant, si ces atouts sont largement identifiés, la Cassab fait face à quelques problèmes dont la concurrence déloyale des autres apiculteurs privés, le manque d’un plan de charge régulier et enfin, le problème des impôts. C’est là le constat fait par le directeur de la Cassab, Boussebaïne Belaïd. Selon lui, actuellement, au niveau de la Cassab, il y a un stock mort d’une valeur de 2 milliards de centimes. La Cassab, qui a un rôle d’approvisionnement en ruches pour les particuliers mais aussi pour les autres organismes tels que les forêts et les services agricoles, prépare, dès la fin de l’hiver, des centaines de ruches vides en attendant les commandes. Or, toutes ces ruches se font à partir du bois acheté et d’une main-d’œuvre payée. C’est ce que le directeur qualifie de stock mort puisque l’argent engagé n’est pas récupéré tant que les commandes en ruches pleines ne sont pas faites, et surtout ne sont pas recouvertes. D’ailleurs, pour les recouvrements, la Cassab paye les frais de ces retards de payement. Celle-ci qui a une comptabilité transparente et mensuelle se voit souvent imposée par les impôts sur la base des facturations établies pour ces clients dont les commandes se font le plus souvent dans le cadre du FNRDA ou le PER II. Or, ces deux dispositifs tardent à verser l’argent pour les clients et la Cassab ne reçoit son dû qu’après ces versements qui durent plusieurs mois. Mais les impôts se basent dans leurs calculs sur les factures établies par la Cassab et ne prend pas en compte que ces factures soient recouvertes ou non. Cette situation fait que la Cassab soit souvent redevable auprès des impôts. M. Boussebaïne qui évoque ce dilemme nous montre un exemple concret de cette situation embarrassante. Récemment, les services des forêts, dans le cadre du plan PER II, ont lancé un avis d’appel pour l’achat de plus de 4 000 ruches pleines. La Cassab qui a cette capacité de satisfaire toute cette demande s’est retrouvée devant le problème de la Cnas et des impôts puisqu’elle leur est redevable, alors que ses autres concurrents, des particuliers qui font le plus souvent dans l’informel, sont à jour avec les impôts et se voient favorisés. Aussi, pour le cas de cet avis d’appel, M. Boussbaïne qui avait soumissionné pour près de 2 000 ruches, s’est vu attribué cette quantité mais sous condition de présenter les documents nécessaires auprès des impôts. Celui-ci a difficilement réussi à convaincre les responsables des impôts de lui établir un échéancier et de lui délivrer les documents nécessaires pour avoir le contrat de fourniture des 2 000 ruches. C’est dire combien les lois sont tordues dans notre pays. Cela étant, rappelons que la Cassab qui a une autre mission de récolte du miel auprès des particuliers effectue avant chaque achat de marchandise des tests physicochimiques sur des échantillons. Et ce n’est qu’après des résultats concluants et répondant aux normes, à savoir un miel possédant un taux d’humidité inférieur à 17�t un taux de saccharose inférieur à 1,5�qu’elle prend le produit.
Y. Y.
soir d'algerie
Relance de l’apiculture
EL MOUDJAHID
lundi 06 février 2006
La coopérative apicole de Aïn El-Aloui (Bouira) se veut, aux yeux de nombreux apiculteurs de la région, une structure d’orientation et de soutien vu son rôle important dans la relance de cette activité, pourvoyeuse d’emplois et de ressources en milieu rural.
Plus de 1.000 apiculteurs, dont 150 adhérents à la coopérative, opèrent à l’échelle de la wilaya, selon le directeur de cette coopérative qui dispose d’un atelier de menuiserie d’une capacité de production de 10.000 ruches par an, avec des prévisions atteignant 15.000 unités, et d’un atelier de transformation de la cire d’une capacité de 200 quintaux par an.
Elle œuvre, en outre, à la relance progressive de son activité originale, à savoir l’entretien de ses ruchers et la réhabilitation d’autres déjà existants, notamment à Lakhdaria, connue pour sa diversité en arbres fruitiers adaptés à ce genre d’activités, mais qui étaient à l’abandon pour des raisons de sécurité durant la dernière décennie. La coopérative apicole qui envisage, d’autre part, d’exploiter des ruchers à M’Chedallah et Bordj-Akhriss, a été, rappelle-t-on, créée en 1977 avant de faire l’objet, en 1990, d’une opération de restructuration, suite à une circulaire interministérielle, à l’issue de laquelle, elle est devenue en 2000, propriété de ses travailleurs.
Toutefois, elle est confrontée, selon son premier responsable, à un problème de commercialisation de ses produits auprès des apiculteurs, en raison "des retards de ces derniers dans le règlement de leurs dus".
L’autre contrainte citée par le gestionnaire de la coopérative réside dans la "concurrence inquiétante" de cinq opérateurs privés de la même wilaya, spécialisés dans la vente de matériels apicoles, et pour "les facilités alléchantes" qu’ils accordent aux apiculteurs dans la constitution de dossiers de demandes de soutien, contrairement à sa structure qui obéït à des "considérations strictes et rigoureuses" dans ses relations avec les apiculteurs.
Commentaires :
à part de beaux timbres pour philatelistes, je ne sais pas s'il y'a beaucoup de ruches dans les environs de Lakhdaria ! notre region est ideale pour ce genre d'activités en plein air, faut reconnaitre qu'en ce moment, ce qui grouille le plus dans nos campagnes ce ne sont surement pas les abeilles...
avant cette periode trouble, Feu Houari Boumedienne ( rahimouhou Allah ala kouli hal ) quand il avait parlé pour une fois d'Apiculture, c'etait pour insinuer sinon approuver qu'un ouvrier mette son doigt dans le pot de miel de l'usine à gaz qu'etait la revolution agraire !!!
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